La catharsis par la guerre
«Нам нужна эта война и самим; не для одних лишь „братьев-славян“, измученных турками, подымаемся мы, а и для собственного спасения: война освежит воздух, которым мы дышим и в котором мы задыхались, сидя в немощи растления и в духовной тесноте.»
Dostoïevski (dans "Journal d'un écrivain") : "Cette guerre, nous aussi nous en avons besoin. Si nous nous levons, ce n'est pas seulement pour aller au secours de nos frères slaves torturés par les Turcs, c’est pour notre propre salut que nous prenons les armes : la guerre purifiera l’air que nous respirons et dans lequel nous étouffions, malades que nous étions de notre dépravation et de notre manque de spiritualité."
Remplaçons le mot "Turcs" par "ukro-fascistes" ou "russophobes occidentaux" et nous avons l'anamnèse de cette pathologie qu'on appelle le Roussky Mir. Manifestement incurable, puisqu'elle resurgit sporadiquement.
Cette explication médico-littéraire vous paraît tirée par les cheveux ? Je vous propose celle de Douguine, d'une clarté exemplaire :
Combien de temps durera cette éclipse de la raison et du bon sens ?