
Il y avait autrefois un président qui aimait tant l’argent qu’il dépensait toute son énergie pour en acquérir davantage. Qu’il parlât à la télé ou devant la Douma, il n’avait d’autre but que d’affirmer qu’il vivait pauvrement dans ses nombreux palais.
A chaque heure de la journée, il était planté devant son compte off-shore. Et, comme on dit d’un dirigeant « Il est en réunion avec ses ministres », on disait de lui : « Il fait des maths. »
Moscou était une ville bien gaie, grâce aux nombreux mafieux qui...
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