Un samedi en Crimée
На корабле "Константин Ольшанский" объявили боевую тревогу
Branle-bas de combat sur le Constantin Olshansky. L’infanterie de marine russe s’apprête à l’attaquer. Les marins ukrainiens ont reçu l’ordre de tenir jusqu’au bout. L’équipage se plaint qu’on ne lui ait pas donné d’armes, il lui faudra se défendre avec des matraques.
Крымские сепаратисты не разрешают выезд семей украинских военнослужащих из Крыма
Les séparatistes de Crimée empêchent les familles des militaires ukrainiens de quitter la Crimée. " Voilà deux semaines que mes enfants sont terrés à la maison. Ma femme aussi à peur de sortir. Pour qu'ils puissent quitter la Crimée, le pouvoir exige que je prête serment à la Russie ou que je parte avec eux. Je ne veux être ni un traître ni un déserteur", déclare un militaire de Sévastopol.
Севастопольские кадеты отказались спускать украинский флаг
Les cadets du lycée de la marine de guerre de Sévastopol ont refusé aujourd'hui de baisser le drapeau ukrainien. Un représentant de Moscou leur a donné jusqu'à lundi pour le faire volontairement. En cas de refus, il sera fait recours à la force. (Les autorités de Crimée veulent rebaptiser ce lycée militaire en Corps Présidentiel des Cadets de la Fédération de Russie.)
Российские оккупационные войска не выпускают людей из Крыма
Les forces d'occupation russes empêchent les voitures de passer en direction de l'oblast de Kherson. Un bouchon de 4 kilomètres s'est formé, certains attendent depuis deux jours. Ni sanitaires ni lieux de restauration aux alentours. Personne ne s'aventure sur les bas-côtés car ils ont été minés. Les conducteurs munis de passeports russes franchissent le contrôle sans problèmes...
Et puis, il y a eu ÇA
BELBEK